L’année 2007 est écoulée,
aussi, Au gui l’an neuf !
Bonne et Heureuse Année 2008 !
Meilleurs Voeux les plus amicaux et chaleureux…
… et pétillants ° o O ° o O ° o ° °
A l’époque d’Astérix et Obélix, du temps des Gaulois et des Celtes, les druides allaient cueillir le gui trouvé dans les chênes, au solstice d’hiver.
Ils le coupaient en s’exclamant : « O Ghel an Heu » ce qui signifie << Que le blé germe ! >>. Les Gaulois, ainsi que les Anglais de cette époque là, considéraient cette plante comme sacrée:
« le gui chassait les mauvais esprits, purifiait les âmes, guérissait les corps, neutralisait les poisons, assurait la fécondité des troupeaux, permettait même de voir les fantômes et de les faire parler. »
Cette expression s’est perdue au cours des temps.
À Noël, et le jour de l’an à minuit précisément, la tradition, en Europe, veut que l’on s’embrasse sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen Âge pour l’offrir avec ce souhait : « Au gui l’an neuf », formule qui fut remplacée plus tard par « Bon an, mal an, Dieu soit céans » (soit dans la maison). Au XIXe siècle on disait « Bonne et sainte année, le paradis à la fin de vos jours », expression modernisée au XXe siècle en « Bonne et Heureuse Année >>
Source Wikipedia – Gui
Soit, nos ancêtres les Celtes et Gaulois pratiquaient la phytothérapie, soigner les maux par les plantes (à l’instar de la bio-dynamie par ses applications de tisanes, décoctions et purins utilisés en agriculture et viticulture durables) et reconnaissaient au gui ses nombreuses propriétés médicinales, en particulier hypotensive et diurétique.
L’année 2007 est écoulée,
aussi, Au gui l’an neuf !